dimanche 9 août 2009

Who are you "The Who"

La porte est maintenant ouverte. Elle passe que la tête par la porte. Elle s'aperçoit qu'elle est actuellement dans un grand corridor. En face, il y a une autre porte et aussi un au fond du couloir, à sa droite. Il semble aussi avoir un escalier, un peu à sa gauche, alors qu'après l'escalier, il semble y avoir d'autres portes, elle en compte cinq, deux du côté opposé de sa chambre, deux du même et une en bout du corridor, comme à sa droite.

"Devrais-je sortir ? Toutes les portes semblent closes en ce moment. Et d'ailleurs, je n'ai aucune idée de l'heure actuelle. Bien entendu, avec sept autres portes, il y a des chances que quelqu'un puisse m'expliquer ce qui se passe ici." Pensa-t-elle. Mais est-ce que le risque en valait la peine ? Elle se dit qu'elle se devait de savoir. Cependant, elle chercha une arme, pour se protèger. Elle pensan à son bâton de baseball qu'elle vait dans son garde-robe, du moins cheaz ses parents. Elle avait souvent cette impression que seule, n'importe qui pouvait entré dans la maison, elle avait donc toujours gardé de quoi pour se protèger si nécessaire. Elle ouvrit rapidement son garde-robe, fouillant à deux mains et lançant les morceaux de linge qui trainaient. Elle fini par mettre la main dessus, heureuse et surprise qu'elle puisse avoir une arme dans cette place.

Elle fini donc par sortir de sa chambre, avec son bâton bien en main. N'osant cogner à une porte, s'imaginant ce qu'elle aurait eu comme réaction si quelqu'un l'avait fait, elle décida de tenter sa chance avec l'escalier. À chaque marche, elle retenait son souffle pour ne pas paniquer et simplement hurler. Et quand la marche craquait, c'était encore pire. Elle pensait fondre en larmes ne sachant ou elle était.

Elle sembalit dans un manoir. En descendant, elle remarquait qu'il s'agissait de l'escalier central. Un grand vestibule s'offrait maintenant à elle. Une seule modification aux autres manoirs que l'on voit dans les films, aucune fenêtre, aucune porte vers l'extérieur. Seul le plafonier lui rappelait que c'était un vestibule. Une seule sortie, un grand couloir, à sa gauche. Elle l'emprunta et arriva alors dans un salon. La décoration y était très belle. Les murs ici étaient tous en bois, sauf celui du foyer droit devant elle, était en briques. Le plafond devait se situé à 20 pieds, ce qui permettait d'y accrocher de belle grandes toiles d'art abstait. Les murs étaient peinturés d'un rouge vin, alors que les sofas, trois une place, un lover-seat et une grande banquette, y était disposés. Trois table de verre y étaient aussi présente, une à l'entrée, une près du foyer et l'autre à la droite de la banquette. Aucune télé, mais un grande bibliothèque, pleine de livres. Elle n'y fit pas un inventaire détaillée, mais d'un simple coup d'oeil, elle vu plusieurs livres, de sujet drôelemtn variés. Quelques lampes sur pieds y étaient disposées, mais il y avait, pour la première fois, une lumière naturelle, une grande fenêtre, au plafond. Une grande porte double française était aussi sur le mur à sa droite. Une autre porte juste à sa gauche, était dans la salle. Cependant, un clavier électronique gardait cette prote bien verouillée. Ne voulant pas attiré l'attention de qui que ce soit, elle n'essaya aucune combinaison.

Toujours en tentant de faire le moins de bruit possible, elle s'avança vers la porte double. Plus ele s'approchait, elle commençait à entendre des bruits, qu'elle ne parvenait à distinguer, étant trop loin. Plus elle s'approche, plus elle peut reconnaître les sons. "On dirait une cuisine. Je crois aussi distinguer une voix d'homme et une de femme. Peut-être une couple qui m'a enlevé, mais pourquoi ma chambre serait-elle en tout points identique à celle chez mes parents ?" Pensa-t-elle. Elle pris donc son courage à deux mains, recula d'un pas, pris une bonne respiration, tenti son bâton de baseball et kicka dans les portes.

Les sept personnes de la cuisine se retournèrent à son entrée. Ils semblent tous dans la jeune vingtaine, tout comme elle. Il y a 2 filles et 5 gars, la majorité autour de la table, assis. il y a un grand et très costaud homme, les cheveux cours, brun, qui regarde dans le réfrigérateur, voir s'il y a quelques chose de viable à manger. Une des deux filles, un petite brunette qui a laissé ses cheveux bouclés détachés, cherchent dans les armoires, voir ce qu'ils ont comme ustensils. L'autre fille, une brune elle aussi, mais qui semble plus grande que la première, est dans le groupe assis, tout comme un blond de type surfeur, un brun de type punk et un émo. Le dernier du groupe est debout, devant la table et semblait mener la discussion jusqu'à l'arrivée de la rouquine. Il s'agit d'un brun, les cheveux pas très court et la barbe pas faite depuis quelques jours. C'est d'ailleurs ce dernier qui pris la parole en premier :

-J'espère que tu as bien dormi, tu sembles apprécié les grasses matinées ! Tu dois bien être la dernière du groupe, car il n'y a que huits portes ! Et je suppose que tu ne pensais pas te réveillé ici, compte tenu du bat de baseball que tu as. As-tu faim ?

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